Lors du premier atelier que Kögel, le constructeur allemand de semi-remorques, a organisé à destination des associations comme l’ASMAP, ANITA, Transfrigoroute International et TLF, les organisateurs ont demandé aux participants quels étaient, selon eux, les obstacles principaux à un transport efficace en Europe. Les réponses les plus citées concernaient la douane, les congés, la durée de circulation autorisée, la hauteur et les poids autorisés, les coûts de personnel, de carburant, les taxes et enfin … les Alpes. A la question « comment l’Europe pourrait-elle jouer un rôle dans la levée de ces obstacles ? », les associations répondaient que l’Europe pourrait uniformiser les règlementations spécifiques, augmenter le poids, la hauteur et la longueur autorisées, admettre une longueur supérieure pour semi-remorques et poids lourds et enfin prêter un peu plus attention aux besoins du transport routier de marchandises et de ne pas seulement écouter les lobbies ferroviaires.